
Alors que Los Angeles fête le passage à la nouvelle année, l’inspectrice Renée Ballard est appelée sur une banale scène de crime. Mais la victime, un garagiste endetté, n’a pas été tuée au hasard des festivités. Ce meurtre est en effet lié à un autre, sur lequel a jadis travaillé l’illustre Harry Bosch, trop heureux de reprendre du service pour aider Ballard. D’autant plus que celle-ci a déjà fort à faire avec une
enquête en parallèle qui la voit traquer un sinistre duo de criminels surnommés les « Hommes de minuit ».
Une valeur sûre, pas de surprises toujours la même qualité d’écriture aussi bien dans la description de Los Angeles que dans l’action. Harry Bosch, héros récurrent est cette fois accompagné de Ballard, héroine dejà présente dans l’oeuvre de Connely, peut être est ce un passage de flambeau. Pas de soucis, à lire en toute quiétude, on passe un bon moment avec un maitre du roman policier.

Strasbourg, août 1944 : Martin Borman, conseiller spécial de Hitler, réunit les plus grands industriels et financiers allemands. La guerre étant perdue pour les nazis, il est urgent d’organiser la fuite et la dissimulation des capitaux avant que ceux-ci ne tombent dans les mains des alliés.
Berlin, 30 avril 1945 : enfermés dans le bunker depuis dix jours, Hitler et Eva Braun se donnent la mort.
Biélorussie, 2021 : Cotton Malone entre en possession d’un dossier confidentiel au contenu explosif, issu des services secrets soviétiques. Si les informations qu’il contient sont avérées, c’est toute l’histoire de l’Europe depuis 1945 qu’il faut réécrire.
Que s’est-il vraiment passé dans le bunker le 30 avril 1945 ? Adolph Hitler et Eva Braun y ont-ils bien trouvé la mort ? Et qu’est devenu Martin Borman, dont le cadavre n’a jamais été formellement identifié ? Autant de questions auxquelles Cotton, sur les traces de l’or nazi, va devoir répondre au péril de sa vie.
Pour les amateurs de conspirations et de secrets. très distrayant et vite oublié car Steve BERRY utilise toujours la même recette depuis 16 livres traduits en France. Moins inspiré que Giacometti et Ravenne dans leur série Marcas aussi bien dans l’intrige que dans l’écriture. Si on aime les complots et l’histoire arrangée à la sauce espionnage c’est parfait. Un roman de gare espionnage, vite lu vite oublié.