
Avril 1791. Jamais Nicolas Le Floch n’avait vu pareils crimes.
Deux cadavres suppliciés qui ont en commun leurs mutilations et peut-être quelques stigmates venus des îles lointaines.
Le Code noir, établi par Louis XIV pour réglementer la vie des esclaves, leur livrera-t-il une piste ?
Dans le Paris révolutionnaire de 1791, où les hommes et les idées s’affrontent dans la violence, Nicolas se retrouve au coeur de la bataille qui oppose partisans et ennemis de l’abolition de l’esclavage.
Il devra aussi combattre de redoutables criminels venus d’un mystérieux repaire, tout en surmontant l’imbroglio sentimental né de sa perpétuelle hésitation entre Laure de Fitz-James et sa maîtresse officielle Aimée d’Arranet.
Sur quels anciens et nouveaux alliés Nicolas Le Floch pourra-t-il s’appuyer pour traverser les cruelles tempêtes de la Révolution ?
Après la mort de Jean-François PAROT en 2018, j’ai cru que la série s’arreterait avec le dernier roman Le prince de chochinchine. Mais non en 2021, Laurent JOFFRIN reprenait la série et son premier roman, Le cadavre du palais royal ne manquait pas de qualités, reprenant les recettes d’intrigues emmelées, de description de la cour royale, des rues de Paris et de quelques moments savoureux tellement les recettes décrites étaient savoureuses. Pourtant ce nouveau roman historique est plus convenu, bavard, tres descriptif et le dénouement de l’intrigue est perceptible dès le premier tiers. Le plaisir de retrouver cet héros dont le coeur balance entre deux femmes ainsi qu’entre l’ancien temps et le nouveau est quelque peu gaché.














